La série criminelle reste incontournable en TV dans le monde mais d’autres thématiques gagnent en influence d’après Glance
En totalisant près de 75% des séries programmées et visionnées en prime time, le drame s’impose comme souverain des genres fictionnels d’après l’édition 2019 du Scripted Series Report publiée par Glance qui analyse la consommation de séries sur plus de 100 chaînes dans 12 pays.
2 genres se distinguent nettement : les séries criminelles représentent à elles seules 41% de l’offre de séries en prime time (en hausse de trois points vs 2017-18) et les séries dramatiques (dont les séries médicales) suivent avec 19% de l’offre.
2 genres se distinguent nettement : les séries criminelles représentent à elles seules 41% de l’offre de séries en prime time (en hausse de trois points vs 2017-18) et les séries dramatiques (dont les séries médicales) suivent avec 19% de l’offre.
L’immense majorité des séries criminelles et dramatiques visionnées sont produites localement (respectivement 81% et 92%), trois séries médicales américaines voyagent particulièrement bien : The Good Doctor, Grey’s Anatomy et New Amsterdam.
L’étude note que des nouvelles séries historiques privilégiant une approche féministe du passé sont apparues cette année dans les tops nationaux de 8 des 12 pays étudiés. C’est le cas notamment de la fiction allemande Aenne Burda relatant la vie d’une éditrice ayant lancé son propre magazine de mode dans les années 1950, ou de Sisters 1968 en Suède, suivant la vie de trois amies à la fin des années 1960, décidées à faire souffler un vent d’émancipation dans leur petite communauté suédoise conservatrice.
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