Facebook a mené un test aux États-Unis permettant à un petit groupe d’éditeurs locaux et nationaux d’identifier parmi leurs posts les «Breaking News», et de tagger ainsi les informations récentes et importantes dans le fil d’actualité du réseau social. Le test s’étend dès cette semaine à plus de 50 autres éditeurs en Amérique du Nord, en Amérique latine, en Europe et en Australie.
Les éditeurs participant au test peuvent tagger leurs articles instantanés, leurs liens mobiles et web ainsi que leurs Facebook Live. Ils peuvent utiliser l’indicateur une fois par jour, en définissant la durée de la rupture (jusqu’à 6 heures). Les éditeurs disposent également d’un pool supplémentaire de 5 indicateurs par mois.
D’après Facebook, le premier test révèle que l’engagement des utilisateurs est plus important sur ces publications. Sur la période du 8 décembre au 14 janvier, le réseau social a par exemple enregistré sur les «Breaking News» une hausse de 4% sur le taux de clic, +7% sur les Likes, +4% sur les commentaires et +11% sur les partages par rapport aux autres posts.
