Le groupement des Indés Radios poursuit son développement sur le digital en renforçant sa présence sur les nouveaux supports d’écoute comme les enceintes connectées, en créant de nouveaux usages d’écoute sur son application Les Indés Radios, et en développant la commercialisation des différentes radios en ligne.
Revendiquant la deuxième position d’offre de radio la plus écoutée sur les enceintes connectées, les Indés Radios annoncent le lancement des premières applications des radios du groupement sur Google Home et sur Amazon Echo ainsi que le lancement d’une nouvelle version de l’application pour Les Indés Radios sur Google Home.
Par ailleurs, le groupement poursuit son développement numérique avec l’arrivée d’ici décembre de l’application Les Indés Radios sur les télévisions connectées LG.
L’application, qui déclare, plus de 2,6 millions de téléchargements est déjà équipée de plus 300 webradios s’ajoutant aux 131 radios du groupement. Elle a proposé la radio personnalisée dès 2016 adoptée par près des d’un quart des utilisateurs et a négocié des présences sur les plateformes de streaming dès 2017. Dans le cadre de sa rénovation, l’application Les Indés Radios crée une nouvelle fonctionnalité : la possibilité de réécouter un titre qui vient d’être joué, d’écouter la playlist de tous les morceaux qu’on a précédemment réécoutés et d’écouter la playlist des titres les plus diffusés de chaque radio.
La nouvelle version de l’application sera lancée d’ici la fin de l’année apportant plus d’ergonomie et de visibilité pour les radios (ajout d’un Mur des Radios, Fiche radio plus visible, Recherche plus visible, etc.). Le budget engagé pour cette nouvelle étape est de 300 000€.
Pour la monétisation, les Indés Radios ont lancé, il y a 2 semaines, avec TF1 Pub et Soundcast une offre 100% préroll audio avec une présence exclusive pour l’annonceur d’une durée maximum de 30 secondes (
voir archive).
Jean-Éric Valli, Président des Indés Radios vise 5% du CA acquis grâce au digital dans les 3 ans.
Il se déclare également favorable à la maîtrise du circuit de la diffusion et s’oppose à la mécanique des agrégateurs (type TuneIn, etc…), qui cumulent 29% de l’audience des radios en ligne selon lui, qui diffusent dans ce sens.
Au même titre que le groupe M6 qui milite pour un «Salto de la radio» (
voir archive), Jean-Éric Valli précise discuter avec l’ensemble des acteurs français depuis 2 ans pour construire une offre de diffusion maîtrisée de la radio numérique.
