L’épineux dossier de la rémunération des médias français par Google au titre des droits voisins, s’est rouvert ce mercredi avec une amende de 250 millions d’euros infligée à Google par l’Autorité de la concurrence.
Les journaux multiplient les attaques en justice contre les géants d’internet dans l’épineux dossier des droits voisins : après des procédures contre Microsoft et X, accusés d’utiliser des contenus sans payer, c’est Google qui a dû renoncer à un test en France.
La presse écrite au Canada recevra près des deux tiers de la contribution financière promise récemment par Google aux médias en échange de la diffusion de leurs contenus.
Après plusieurs mois de négociations, le SIRTI et Google viennent de conclure leur premier accord définissant un contrat-type pour les radios indépendantes.
Le gouvernement du Canada et Google ont conclu un accord pour verser une compensation aux entreprises de presse du pays en échange de la diffusion de leurs contenus.
Les chercheurs de l’université de Columbia ont estimé que 6,6% et 17,5% des recettes publicitaires totales respectives de Facebook et de Google Search devraient être versés aux éditeurs de presse chaque année.
L’Alliance de la presse d’information générale (Apig), qui regroupe près de 300 titres d’information quotidienne nationale, régionale et locale, a annoncé confier à la Sacem la négociation des droits voisins avec LinkedIn, Microsoft, Apple ou encore X (ex-Twitter).
Google a signé un accord avec l’organisme de gestion collective Droits voisins de la presse (DVP), qui porte à 350 le nombre de publications françaises.