Avec un chiffre d’affaires de 279 M€, le marché français de la musique affiche une stabilité à la hausse de +0,4% au premier semestre 2020 d’après les données du SNEP. Dans le détail, le numérique a progressé de +17,7% quand le marché physique chute de -36,8%. Le streaming qui pesait près des deux tiers du marché au 1er semestre 2019 en représente désormais près des 3 quarts.
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L’offre globale de musique à la télévision est en décroissance entre 2013 et 2018 avec une baisse de 960 heures d’après une étude sur l’offre musicale des chaînes nationales de télévision gratuite réalisée par le CSA. La part de la musique a ainsi représenté en 2018 8,1% de l’offre de programmes contre 9,7% en 2013.
89% des internautes interrogés consomment des biens culturels dématérialisés, contre 84% après deux semaines de confinement (1ère vague) et 81% en 2019 (Baromètre Hadopi de la consommation 2019), soit une augmentation de 5 points en quinze jours et de 8 points en un an d’après la 2ème vague du baromètre de la consommation des biens culturels dématérialisés de l’Hadopi réalisée les 8 et 9 avril 2020 avec l’Ifop.
Après 3 ans de résultats légèrement positifs, le marché français de la musique enregistrée affiche une croissance soutenue de +5,4% avec un chiffre d’affaires de 772,5M€ pour l’année 2019 incluant les ventes physiques et numériques, les droits voisins des producteurs et la synchronisation.
Déjà à la tête de Radio Classique et actionnaire à 50% de Mezzo avec le groupe Canal+, le Groupe Les Echos – Le Parisien a pris une participation à hauteur de 50% dans la plateforme de streaming medici.tv. L’autre moitié du capital reste détenue par les fondateurs de la société, Pâris Mouratoglou, via la holding Eren Groupe, et Hervé Boissière.
A l’occasion de la Saint-Valentin, le musée en ligne de la Sacem et Beaux Arts Magazine diffusent des pièces d’archives inédites via le réseau d’affichage publicitaire DOOH de Clear Channel. Une série de 5 modules vidéo, sur le thème des chansons d’amour, sont diffusés du 10 au 16 février dans toute la France, sur près de 2 600 écrans, soit environ 15 millions de personnes touchées.
Big Sync se revendique comme le plus gros acheteur de musique de sa catégorie, et propose une solution data driven pour associer la musique aux marques. Dans le cadre d’une expansion internationale, Big Sync ouvre des bureaux en Australie, Nouvelle Zélande, Allemagne et en France.
Dans le cadre de ses animations commerciales, Disneyland Paris propose un séjour exceptionnel, commercialisé par Carrefour Voyages, intitulé «Le Week-end Enchanté», les 8 et 9 février, comprenant une nuit dans un des hôtels du resort, l’entrée pour les 2 Parcs Disney, un showcase privé de Kids United Nouvelle Génération (produits par le groupe M6) le 8 février et la privatisation du Parc pour une soirée.
L’offre globale de musique est en décroissance entre 2013 et 2018, soit une baisse de 960 heures. La part de la musique a ainsi représenté, en 2018, 8,1% de l’offre de programmes contre 9,7% en 2013 d’après les données issues de la dernière étude du Conseil supérieur de l’audiovisuel sur l’offre musicale des chaînes nationales de télévision gratuite.
Le SIRTI (Syndicat des radios indépendantes), réunissant 172 radios, réclame une remise à plat du système de quotas de musique francophone à la radio. Son président Alain Liberty, lors d’un point presse, a regretté que «le système mis en place en 2016, notamment sur le plafonnement des rotations de titres, durcissant un texte de 1996, n’ait pas rempli ses promesses pour l’exposition des artistes francophones».