Les Français en attente de technologie, de partage et de nouvelles expériences pour leur shopping, selon la dernière édition de l’Observatoire du Shopping 2015 d’Unibail-Rodamco
Après avoir révélé les 7 profils de shoppeuses lors de sa 1ère édition (voir archive) et s’être intéressé aux comportements shopping des hommes en 2014 (voir archive), l’Observatoire du Shopping 2015 d’Unibail-Rodamco dresse le portrait de la façon dont les Français rêvent de faire du shopping dans les années à venir.
La société a fait appel à Ipsos pour mesurer ces tendances réparties en 3 points :
1 – Vers un nouvel âge du service et de l’accompagnement
65% des Français ont intégré l’idée que la technologie va faire partie de leur shopping à l’avenir. Ils sont pour la géolocalisation des produits dans le magasin (60%) et la possibilité de voir des infos produits sur des écrans (65%). Ils sont moins nombreux (env. 50%) à demander des offres personnalisées et pour les deux tiers, ils souhaitent pouvoir essayer «hors les murs». Ils jugent à 62% attractif le concept de «miroir intelligent». Dans la facilitation technologique, un tiers des interrogés pensent que les caisses, les pièces et les billets auront disparu dans 10 ans pour le shopping.
2 – Le shopping, une expérience de partage
30% des Français ont déjà utilisé leur smartphone ou leur tablette en magasin pour prendre et envoyer des photos d’un produit et 19% pour demander l’avis de leurs proches avant d’effectuer un achat. Pour autant, ils restent attachés aux lieux physiques.
3 – La transformation des lieux de shopping
Pour 70% des interrogés, il est important que le lieu de shopping soit aussi un lieu vivant et animé où on ne fait pas que du shopping. Leurs attentes de loisirs sont fortes.
Méthodologie : la 3ème édition de l’Observatoire du Shopping Unibail-Rodamco a été menée auprès de 2 006 individus constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 16 à 70 ans. Le recueil des données a été réalisé du 16 au 23 mars 2015, via l’Access Panel Online d’Ipsos, utilisant la méthode des quotas (âge, profession de la personne interrogée, région et catégorie d’agglomération).
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