La dernière édition de la newsletter du CESP « le forum de l’audience » dresse un panorama des dispositifs en projet, ou en cours à l’étranger. Le CESP, associé à plusieurs démarches, dont la dernière avec l’ACPM (
voir archive) « croit fondamentalement que les mesures déclaratives seront de plus en plus complétées voire hybridées par des mesures passives même si tout dispositif, déclaratif comme passif, comporte des limites ».
En effet, la « mesure passive » constitue d’une certaine façon un abus de langage, selon le CESP, « dans la mesure où le panéliste ou participant n’est pas totalement passif, qu’il doive télécharger une application ou recharger son audimètre ».
Au sommaire :
– Qu’est-ce que la mesure passive ?
– Deux approches méthodologiques possibles : l’exemple de la radio
– Itw de Nicolas Cour : l’apport du CESP dans la mise en place de la mesure passive des consultations des sites et applis de presse
– Françoise Dupont (CESP) : « Nous accompagnons l’ACPM depuis que la mesure passive a été mise en place sur ONE Premium, en septembre 2015 »
– Laure Debos : « Une avancée importante pour le média presse et pour la mesure d’audience en général »
– La mesure automatique individuelle portée n’est pas seulement une question de technologie
– Mesure passive : quand l’exemple vient du Canada
– Mesure Passive : le credo de
Bruno Schmutz (Ipsos Connect)
