250 marques américaines ont suspendu leur achat d’espace sur YouTube
Après les géants des télécoms AT&T et Verizon, le fabricant de produits d’hygiène Johnson & Johnson, le constructeur automobile Volkswagen, la filiale britannique du groupe de communication Havas ou encore The Guardian et la BBC, c’est au tour d’autres marques de se priver de publicité vidéo sur Google.
Selon la presse anglo-saxonne (Advertising Age ou The Guardian), des marques aussi diverses que General Motors, Walmart, Pepsico, Starbucks ou FX Networks ont également décidé de suspendre leurs achats d’espaces publicitaires sur Google et sa filiale YouTube. Au total, environ 250 marques ont retiré leurs publicités de ces plateformes. «Leurs préoccupations pour le bien-être de leurs clients est rationnel, approprié et justifié. Toutes les agences et tous les partenaires médias devraient reconnaître que protéger la marque devrait être la priorité sur tout le reste», a indiqué Bob Liodice, le CEO de l’Association of National Advertisers (ANA), dans une lettre envoyée à tous ses membres vendredi dernier. Malgré le contexte, il a quand même réussi un trait d’humour en insistant que «la plus importante des priorités lors de l’utilisation d’une plateforme, c’est de ne pas faire de mal [to do no harm en anglais]»… alors même que la signature d’Alphabet (maison-mère de Google) est «To do no harm».
Selon la presse anglo-saxonne (Advertising Age ou The Guardian), des marques aussi diverses que General Motors, Walmart, Pepsico, Starbucks ou FX Networks ont également décidé de suspendre leurs achats d’espaces publicitaires sur Google et sa filiale YouTube. Au total, environ 250 marques ont retiré leurs publicités de ces plateformes. «Leurs préoccupations pour le bien-être de leurs clients est rationnel, approprié et justifié. Toutes les agences et tous les partenaires médias devraient reconnaître que protéger la marque devrait être la priorité sur tout le reste», a indiqué Bob Liodice, le CEO de l’Association of National Advertisers (ANA), dans une lettre envoyée à tous ses membres vendredi dernier. Malgré le contexte, il a quand même réussi un trait d’humour en insistant que «la plus importante des priorités lors de l’utilisation d’une plateforme, c’est de ne pas faire de mal [to do no harm en anglais]»… alors même que la signature d’Alphabet (maison-mère de Google) est «To do no harm».
À la suite de cette fronde, Alphabet a perdu un peu plus de 20 milliards de dollars de valorisation boursière depuis le début de la semaine dernière. Une situation qui pourrait s’aggraver puisque cette crise tombe alors que les marques sont en train de planifier leurs budgets publicitaires pour la saison 2017-2018.
Ce mouvement avait débuté le 17 mars avec les annonces d’Havas UK (voir archive).
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