Olivier Schrameck explore les voies d’une régulation élargie du CSA et exprime comme priorité le rajeunissement de l’audience de France Télévisions
«Je dis bravo» s’est exclamé Olivier Schrameck, Président du Conseil supérieur de l’audiovisuel à propos de la décision sur l’élargissement de la régulation du CSA vers la vidéo en ligne souhaitée par Emmanuel Macron la semaine dernière (voir archive).
Invité au dernier déjeuner de l’Association des Journalistes Médias, il a rappelé que le cadre légal de la régulation datait de 1986 et que, malgré 83 retouches, rien n’avait été engagé pour aborder les médias numériques. Pour parvenir à réguler un tel champ, Olivier Schrameck mise sur une auto-régulation des acteurs qui pourraient être motivés et récompensés par des avantages comme des assouplissements de régulation ou des avantages dans la chronologie des médias.
Invité au dernier déjeuner de l’Association des Journalistes Médias, il a rappelé que le cadre légal de la régulation datait de 1986 et que, malgré 83 retouches, rien n’avait été engagé pour aborder les médias numériques. Pour parvenir à réguler un tel champ, Olivier Schrameck mise sur une auto-régulation des acteurs qui pourraient être motivés et récompensés par des avantages comme des assouplissements de régulation ou des avantages dans la chronologie des médias.
Interrogé sur France Télévisions, Olivier Schrameck a exprimé sa préoccupation sur le vieillissement de l’audience du groupe public et place son rajeunissement comme une priorité forte.
Tandis qu’il va aborder en 2018 sa dernière année de mandat à la présidence du CSA, Olivier Schrameck se dit particulièrement fier de la bascule vers le tout TNT entamée en 2015 et des actions entreprises sur la RNT.
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