Le Coronavirus n’est pas un contexte entièrement à risque pour la publicité selon IAS
Integral Ad Science (IAS) publiait en janvier dernier une étude qui indiquait que 72% des Français déclaraient qu’ils cesseraient d’utiliser et d’acheter les produits d’une marque si ses publicités apparaissent près de contenus digitaux de «faible qualité ou peu recommandables» (voir archive).
La perception de publicités diffusées dans des contenus liés au coronavirus est beaucoup moins négative : 78% déclarent ainsi que cela n’altèrerait pas leur perception de la marque et seulement 16% auraient une perception moins favorable d’une marque dont les publicités seraient diffusées près de contenus sur ce sujet. Cette appréciation dépend du secteur d’activité de l’annonceur : les secteurs que les consommateurs trouvent le moins en adéquation avec des contenus sur le coronavirus sont l’alimentation (37%), le tourisme (35%) et la banque / finance (28%). À l’inverse les publicités relevant des domaines de la santé / pharmacie, du gouvernement ou de l’éducation seront les mieux perçues par les consommateurs américains avec respectivement 46%, 30% et 23% d’assentiment.
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