L’IMC attire l’attention des annonceurs français et britanniques
La publication du guide de l’UDA intitulé «Comment les annonceurs peuvent mettre en place la communication marketing intégrée ?» (voir archive du 18 mars) a été accompagnée d’un débat réunissant autour de Christian Barluet, concepteur du guide, Michel Gotlib, Directeur IMC de Coca-Cola NW Europe & Nordics et Olivier du Chayla, associé de l’agence Né Kid, spécialiste de l’intégration.
Dans son introduction, Gérard Noël, Vice-Président Directeur Général de l’UDA, a souligné que la communication marketing intégrée ou IMC était une évolution inéluctable. Michel Gotlib a montré comment cette approche était en train de transformer l’organisation de la communication de la firme d’Atlanta : nouvelles fonctions – stratège des connexions, responsable Brand PR, directeur des contenus, marketing asset manager… -, nouvelles instances, tel un «comité de suivi de la productivité» mensuel, etc.
De son côté, Olivier du Chayla a rappelé que l’IMC était avant tout un process structuré et rigoureux remplissant le double rôle de nourrir la marque à long terme et d’assurer la cohérence de ses actions à court terme.
Un site pédagogique apporte des précisions sur ce sujet.
La veille, Naked – la maison-mère de Né Kid – a présenté à Londres un outil conçu pour le WFA (World Federation of Advertisers), auquel l’UDA est associé et dont les membres représentent 70% des investissements média mondiaux. Cet outil, baptisé IMC Scorecard, permet à tout annonceur de comprendre et de mesurer les lacunes dans ses process IMC en les comparant à un pool d’annonceurs du WFA. L’analyse s’effectue sur trois grands axes : people, process et performance. L’outil, bientôt traduit en français, espagnol, portugais, mandarin et japonais, sera disponible cette semaine sur le site du WFA ainsi que sur un site dédié.
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