Infographie : les 5 leviers de la visibilité des formats display, selon une étude Google
Pendant le mois d’octobre 2014, Google a mesuré avec sa technologie Active View la visibilité des impressions display, en formats statiques et rich media, diffusées au travers de ses plateformes (Google, DoubleClick…) sur le web et les devices mobiles hors applications.
L'analyse montre que 56,1% des impressions analysées dans cette étude n’ont pas été vues, et le taux moyen de visibilité des sites est de 50,2%, avec une grande disparité selon les éditeurs. Par exemple, 12% des sites ont une visibilité moyenne de 35%. La position sur la page est un critère important, la position la plus visible étant celle qui se trouve juste au-dessus du fold, et non pas le haut de la page.
Les formats les plus visibles sont les formats verticaux, comme le format 120×240. Souvent considérés comme des espaces de seconde zone, les positions en dessous du fold recueillent tout de même 40% de visibilité, en moyenne. La visibilité dépend du contexte éditorial et du niveau d’attention de l’utilisateur. Ainsi les sites de référencement et de comparateurs obtiennent un taux de visibilité de 51,9%.
L’infographie ci-dessous présente les 5 principales conclusions de cette analyse, dont l’objectif est «d’aider les vendeurs et acheteurs à améliorer la performance des campagnes de branding et de faire évoluer les modes de rémunération», selon Jérôme Grateau, Managing Director, Partner Business Solutions, SEEMEA de Google. «Les éditeurs pourront ainsi optimiser la position des publicités et la visibilité des impressions sur leurs sites, et définir de nouvelles offres, de nouveaux prix.»
La définition de la visibilité retenue pour cette analyse correspond au standard MRC et IAB : une impression est considérée visible quand au moins 50% de sa surface est affichée sur l’écran pendant au moins une seconde.
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