Gala (groupe Figaro) que l’on a plutôt l’habitude de feuilleter au festival du cinéma de Cannes (avec son magazine quotidien Gala Croisette) est passé sur un rythme quotidien depuis le 27 juillet jusqu’au 10 août 2024. Les lecteurs n’y voient pas les résultats de la natation, du judo et de l’athlétisme mais plutôt un city guide bilingue – français anglais – qui raconte la capitale à l’heure des Jeux olympiques mais aussi des portraits décalés de champions, comme Léon Marchand, médaillé d’or en natation.
Nous sommes allés au cœur de la rédaction de Gala Paris qui s’est installée dans les locaux du Groupe Figaro (Paris 9ème), plus proche des sites de compétition. François Quairel a rencontré, en plein bouclage, Matthias Gurtler, directeur de la rédaction de Gala.
Les 15 numéros de Gala Paris sont livrés entre 2h et 6h du matin dans une centaine de lieux de distribution. Le magazine est ainsi proposé chaque matin dans une soixantaine d’hôtels et palaces parisiens (Crillon, Cheval Blanc, Plaza Athénée, Meurice…), mais aussi une vingtaine de restaurants célèbres de la capitale (Maxim’s, Mun, Loulou, Lapérouse…), dans les QG des partenaires officiels (Club France, Pavillon LVMH, Omega House…), dans la fan zone de la Tour Eiffel et à la Mairie de Paris.
Comme pour Gala Croisette, la version numérique de Gala Paris au format PDF est disponible à partir de 22h et téléchargeable gratuitement sur gala.fr et l’application Kiosque Figaro. Elle profite bien sûr de la puissance et du savoir-faire de Gala sur Tiktok (12,1 millions d’abonnés) et Instagram (835 000 followers).
Côté monétisation, Media Figaro, la régie de Gala, a réuni 18 partenaires annonceurs, notamment les sponsors officiels des JO, comme Danone, LVMH, Air France, Orange, EDF ou Toyota.
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