Le Syndicat de la Distribution Directe (SDD) défend l’imprimé publicitaire comme «éco-responsable»
Après les annonces de Monoprix de la suppression de l’impression et la distribution de ses catalogues papiers (Voir archives), le Syndicat de la Distribution Directe (SDD) monte au créneau pour défendre «les différents bénéfices et atouts du support». Dans un communiqué, le SDD, organisme représentatif de la distribution directe, dévoile «6 points pour mieux considérer l’imprimé publicitaire».
Parmi les arguments détaillés, il défend le papier comme «un support naturel et renouvelable (…) Fabriqué à partir de combinaison de fibres recyclées et de fibres vierges issues de forêts gérées durablement». Il rappelle que «le digital n’est pas dépourvu d’impact écologique» et annonce le lancement d’une étude dès le premier semestre 2019 pour comparer l’empreinte écologique d’un octet et d’un imprimé.
Parmi les arguments détaillés, il défend le papier comme «un support naturel et renouvelable (…) Fabriqué à partir de combinaison de fibres recyclées et de fibres vierges issues de forêts gérées durablement». Il rappelle que «le digital n’est pas dépourvu d’impact écologique» et annonce le lancement d’une étude dès le premier semestre 2019 pour comparer l’empreinte écologique d’un octet et d’un imprimé.
Dans les points défendus, le SDD rappelle que l’imprimé publicitaire est «le média du pouvoir d’achat, (…) choisi et (…) au service de l’économie locale». Tout en détaillant les intérêts de la filière «créatrice d’emplois indispensables» qui emploie directement «plus de 30 000 salariés» dans la filière distribution et même plus de 150 000 personnes dans la filière «création, impression, routage, distribution».
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