UM (Mediabrands) poursuit sa démarche d’analyse des résultats via l’économétrie avec l’étude d’impact des réseaux sociaux sur les ventes
5 mois après Dataluxe, l’analyse du Paid-Earned-Owned dans le secteur du luxe avec des modèles économétriques (voir archive), UM a présenté hier au séminaire Irep dédié aux réseaux sociaux, les résultats d’une nouvelle étude économétrique sur la mesure de l’impact des réseaux sociaux et leurs corrélations directes avec les ventes.
L’objectif est de mesurer le rôle joué par les réseaux sociaux dans l’écosystème PEO (Paid-Earned-Owned) des marques et leurs effets sur les ventes.
Parmi les principales conclusions d’un cas d’une campagne de secteur Alcool n’utilisant que du Display et Facebook Ads :
– Un faible taux de taux de clic peut entrainer des ventes fortes
– Les Likes font vendre de manière exponentielle
– Plus le fan est actif, plus les ventes sont fortes
– Le site de marques n’apporte pas de ventes significatives
Comme le souligne Stéphane Bodier, président de Mediabrands : «Il est plus que temps d’avancer dans le domaine des études médias ! Arrêtons d’imaginer que le consommateur répond à toutes nos interrogations au sujet de l’efficacité des médias. Aujourd’hui, l’économétrie est la seule solution capable de mesurer la performance de nos clients, digitaux ou pas».
En reprenant la méthodologie UM-Dataluxe PEO (Paid-Earned-Owned) déjà exposée sur le secteur du Luxe en mai dernier, et en la faisant évoluer en intégrant les ventes, l’équipe de Baptiste Tougeron, directeur Performance de Mediabrands Analytics, a pu mesurer avec précision l’effet des variables Facebook sur les ventes tout en quantifiant le rôle joué par le recrutement de fans et leur engagement.
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