La Bougie du Sapeur, seul quotidien quadri-annuel, paraît ce 29 février
Seul « quotidien » à paraître tous les quatre ans, le 29 février, « La Bougie du Sapeur » est en kiosque dès mercredi en fin de journée, pour un douzième numéro en quelque quarante ans.
En une, « on va tous devenir intelligents » grâce à l’intelligence artificielle, proclame le journal de 20 pages, vendu 4,90 euros.
« La Bougie du Sapeur » alterne vraies et fausses interviews, billets grivois notamment sur « ce que les hommes doivent savoir avant de devenir des femmes », et encore commentaires plus ou moins sérieux sur l’actualité des quatre dernières années.
Il comprend aussi un supplément « Le Sapeur sportif » avant les JO de Paris, où il est assuré qu’« on va démonter la Tour Eiffel ».
« Nous suggérons de créer un prix Winston Churchill, dont la devise était +no sport+. Il sera remis au premier athlète éliminé et représentera une tortue », expose Jean d’Indy, son rédacteur en chef.
En outre, un nouveau feuilleton, « Noyade dans la piscine », démarre dans ce numéro. « Il faudra être un peu patient pour la suite… dans quatre ans », prévient le chef d’équipe.
« La Bougie du Sapeur » est tiré à 200 000 exemplaires pour cette édition, distribuée en France, Belgique, Luxembourg et Suisse. La précédente s’était écoulée à 120 000 exemplaires.
Les ventes permettent à ce journal sans publicité de financer son prochain numéro. Il reverse aussi une partie de ses recettes à l’association « À tire-d’aile », qui accompagne les personnes autistes et épileptiques.
Une équipe d’une dizaine de bénévoles, dont certains sont journalistes, le font vivre tous les quatre ans.
Le journal, né d’un gag en 1980, a été baptisé « La Bougie du Sapeur » en référence à un personnage de bande dessinée créé à la fin du XIXe siècle, le Sapeur Camember, dont l’anniversaire tombait un 29 février.
À lire aussi
Chemins directs : La clé pour une publicité digitale transparente, performante et durable, par Julien Galim Co fondateur Bcovery
Dans un écosystème publicitaire encore marqué par la fragmentation, même après les efforts de simplification via le SPO (Supply Path Optimization), une approche différente s’impose. Les chemins directs établissent de nouveaux standards d’efficacité, de transparence et de durabilité, tout en répondant aux défis structurels du programmatique.
Dentsu France valide son premier audit et renouvelle sa qualité de société à mission
Il y a un an et demi, dentsu France devenait une société à mission, se fixant des objectifs sociétaux et environnementaux en plus de ses résultats business, et ce, afin de : « choisir de concevoir la communication comme un vecteur d’harmonie sociale et environnementale ». Elle annonce la validation de son premier audit.
À lire plus tard
Vous devez être inscrit pour ajouter cet article à votre liste de lecture
S'inscrire Déjà inscrit ? Connectez-vous