Cet accord garantit aux créateurs une compensation financière pour la diffusion de leurs œuvres tout en permettant aux utilisateurs de continuer à les visualiser et à les partager librement.
Plus d'articles Meta
Les plateformes de médias sociaux cherchent de nouvelles façons de contrôler la qualité des publicités, même après la dissolution de GARM.
La justice européenne a mis en garde vendredi les réseaux sociaux contre l’utilisation à des visées publicitaires de l’ensemble des données à caractère personnel, comme l’orientation sexuelle, dans une affaire concernant le groupe Meta.
Meta a écopé ce vendredi 27 septembre d’une amende de 91 millions d’euros du régulateur irlandais pour avoir enfreint le règlement européen sur les données (RGPD) en manquant de transparence après une faille de sécurité affectant les mots de passe des utilisateurs.
Meta a présenté mercredi son premier prototype de lunettes à réalité augmentée et intelligence artificielle (IA), espérant à terme créer une nouvelle plateforme informatique pour les consommateurs, après les ordinateurs personnels et les téléphones portables.
Des dizaines d’entreprises européennes, dont Publicis, Spotify et Meta, accompagnées de chercheurs et développeurs influents, tirent la sonnette d’alarme. Dans une lettre ouverte, elles appellent à une harmonisation des régulations autour de l’intelligence artificielle au sein de l’Union européenne, pointant un risque croissant de fragmentation qui pourrait freiner l’innovation sur le continent.
Meta a récemment lancé une série d’outils et de formats publicitaires pour aider les entreprises à optimiser leurs campagnes et à stimuler les ventes.
Le groupe Meta a annoncé mardi la création de « Comptes Adolescents », censés mieux protéger les utilisateurs mineurs des dangers liés à Instagram, une application accusée par de nombreuses associations et autorités de nuire à la santé mentale des plus jeunes.
La croissance des revenus publicitaires numériques de Meta a dépassé celle de Pinterest et Snap pour le quatrième trimestre consécutif au deuxième trimestre 2024.
La justice française, qui avait condamné en avril le groupe Meta (Facebook, Messenger, Instagram) à faire cesser la diffusion de fausses publicités du groupe Barrière, vient d’assortir cette décision d’une astreinte financière, selon un communiqué du groupe de casinos et hôtels mercredi.