Le réseau social X (ex-Twitter) autorise officiellement la publication de contenus à caractère érotique et pornographique sur sa plateforme, qui en regorgeait déjà depuis de nombreuses années.
D’après de nouvelles données du cabinet de conseil en stratégie Brand Finance, la marque X a dégringolé dans tous ses classements cette année.
Saisi par une dizaine de médias, le tribunal judiciaire de Paris a ordonné jeudi en référé à X (ex-Twitter) de leur fournir une série de données commerciales permettant d’évaluer les revenus que le réseau social tire de leurs contenus.
Elon Musk a annoncé sur X que « tous les systèmes de base » de son réseau social, anciennement baptisé Twitter, sont « désormais activés » sur le nom de domaine X.com, rendant effectif sa nouvelle identité.
LinkedIn reste le réseau social de premier choix pour les dirigeants du luxe (70%) devant Instagram (20%) et X (10%), selon une étude d’AmazingContent sur l’influence des dirigeants du luxe, réalisée conjointement avec LinkedIn.
La justice a repoussé au 23 mai sa décision en référé dans le litige entre le réseau social X (ex-Twitter) et des médias, dont Le Monde, Le Figaro et l’AFP, qui réclament une rémunération pour l’utilisation de leurs contenus.
Le réseau social X va avoir droit à une application TV. Aucune date officielle de lancement de X TV n’est encore connue.
Les nouveaux utilisateurs de X (ex-Twitter) devront payer de « petits frais » pour publier sur la plateforme pendant une durée de trois mois. Objectif : lutter contre les bots.
Les utilisateurs du réseau social X (ex-Twitter), ayant plus de 2 500 abonnés vérifiés, reçoivent désormais gratuitement un abonnement Premium, incluant notamment la fameuse coche bleue.
Depuis son rachat par Elon Musk, Twitter devenue X se transforme. Et vite. Chaque semaine, de nouveaux développements sont annoncés. Un objectif : être moins dépendant de la publicité. Laurent Buanec, DG X France et DACH, se confie à TheMediaLeader.tech.
Quatre anciens dirigeants de Twitter ont porté plainte en début de semaine contre Elon Musk, accusant le propriétaire du réseau social de les avoir licenciés pour négligence grave dans l’optique de ne pas leur payer leurs indemnités de départ.
Le tribunal judiciaire de Paris rendra le 14 mai sa décision concernant X, assigné en référé par des groupes de presse français.